En septembre 2009, le site « Nos libertés » avait fait paraître un article intéressant sur les connexions entre l’UE et le nazisme. Au vue aujourd’hui, du renforcement totalitaire des oligarques contre les peuples d’Europe, il nous appartenait de vous en faire ou refaire découvrir la teneur. C’est édifiant !
L'Union Européenne : un projet construit par les cartels industriels de l’Allemagne nazie
Par Nos Libertés le samedi 19 septembre 2009
Par le docteur Matthias Rath (Fondation pour la Santé)
Traduction le 19 septembre 2009, par Claude Simon (Énergie et Harmonie)
L’Union Européenne (UE) est contrôlée par les leviers politiques des pays européens exportateurs de pétrole et de médicaments, à savoir la France et l’Allemagne. Le projet des dirigeants de ces pays, Nicolas Sarkozy (France) et Angela Merkel (Allemagne), saute aux yeux : faire pression sur les pays européens plus petits et plus pauvres pour qu’ils rejoignent le « super-état » sous leur pouvoir absolu. Ils veulent faire du continent européen un gigantesque marché pour le cartel pétro-pharmaceutique et asservir ainsi 500 millions d’Européens prêts à sacrifier leur santé et leur vie aux intérêts de ces multinationales pour des générations à venir.
Toutefois notre Fondation a fait des recherches qui ont mis à jour les racines historiques de l’Union européenne : ses bases ont été dessinées par les Nazis pendant la 2e guerre mondiale. Par exemple, les documents historiques publiés sur notre site "EU Facts" dévoilent le schéma directeur de l’institut de recherche nazi pour la structure de l’Europe après-guerre. Publié en 1941, le schéma spécifiait déjà tous les aspects principaux de l’UE actuelle, y compris la Commission Européenne et les directives de l’Union Européenne. L’information et les documents sur ce site annoncent le commencement de la fin de l’expérience antidémocratique de l’« UE-Bruxelles ».
De plus, les pétitions de l’Initiative du Référendum Européen ont été signées par plus de 250 000 personnes, dans toute l’Europe. L’Initiative demande le rejet du Traité de Lisbonne, une « "Europe pour le Peuple et par le Peuple"et un "Référendum pour les Remèdes Naturels". Elle a maintenant des soutiens dans les 27 pays européens.
Le Tribunal de Nuremberg faisait partie de l’effort des gouvernements américain et alliés pour déterminer les responsabilités dans la 2e guerre mondiale et traduire en justice ceux qui avaient commis des crimes contre l’humanité. Entre 1945 et 1948, plusieurs procès furent tenus dans le Palais de Justice de Nuremberg, en Allemagne. Le plus important fut le procès contre la multinationale pétro-pharmaceutique, IG Farben. Les dirigeants de ce groupe, selon le procureur américain, Telford Taylor, étaient les principaux criminels de guerre, sans qui la deuxième guerre mondiale n’aurait pas pu avoir lieu. Cependant, même si le Tribunal a condamné IG Farben pour ses crimes, il n’a pas complètement réussi à stopper ses agissements maléfiques. IG Farben put rapidement reconstituer les bases de son organisation.
Dès lors, le marketing mensonger de produits pharmaceutiques, chers et souvent mortels, a conduit à la création d’un marché de plusieurs milliards de dollars, basé sur le développement des maladies, plutôt que de leur élimination. Tout en se présentant comme le sauveur du monde des pires maladies endémiques, l’industrie pharmaceutique exploite à fond les maladies et les malades pour leur propre profit. Pire, l’industrie ignore, cache et détruit, des thérapies naturelles efficaces, sans danger, sûres et scientifiquement validées, capables d’éradiquer facilement les principales maladies endémiques de la terre. Le Projet NT-2 a pour but de créer un second « Tribunal de Nuremberg » pour s’assurer que les crimes du cartel pharmaceutique sont terminés et enterrés une bonne fois pour toutes.
Depuis un quart de siècle, des millions de gens séropositifs ou souffrant du Sida, surtout dans les pays émergents, ingurgitent des produits chimiques hautement toxiques sous le nom trompeur de médicaments antirétroviraux (ARV). On leur a dit que ces drogues toxiques attaquent les virus HIV dans leur corps. Mais, on ne leur a pas dit qu’elles attaquent aussi toutes les autres cellules de leur corps et détruisent leur système immunitaire.
Depuis 25 ans le cartel pharmaceutique mène une des plus vicieuses opérations marketing de l’histoire : la promotion de drogues toxiques qui détruisent le système immunitaire de millions de patients, qui souffrent déjà du syndrome immuno-déficient acquis (Sida). Les conséquences étaient prévisibles : une augmentation constante de déficiences immunitaires provoquées par les drogues, dans les proportions d’un génocide.
Le plus étonnant, c’est qu’aucune information des fabricants de ces « agents de guerre chimique » (les antirétroviraux) ne mentionne le fait scientifique que ces drogues ne peuvent guérir ni du VIH ni du Sida, alors qu’ils y sont obligés par la loi, et que depuis des décennies personne n’a osé les attaquer pour ce mensonge. Mais tout a changé en 2008. La Haute Cour de Londres a jugé un cas historique : le journal anglais "The Guardian" était poursuivi pour déclarations mensongères affirmant que les antirétroviraux sauvent et prolongent des vies. Le Dr Matthias Rath, qui a initié cette plainte avec ses collègues, a donné la possibilité au journal et ses experts, promoteurs des antirétroviraux, de défendre leurs fausses affirmations sous serment. Ils en ont été incapables ! Il est possible de consulter les détails de ce procès en cliquant sur ce lien.
L’année 2008 eut l’effet d’une douche froide pour le gros business des antirétroviraux (ARV) : les témoignages sous serment du procès ont dénoncé la supercherie. La publication de ces témoignages et arguments scientifiques, et des détails de la capitulation des promoteurs des antirétroviraux face aux preuves scientifiques, donne un précédent légal aux compagnies d’assurance, gouvernements et surtout aux millions de patients pour engager la responsabilité pénale des laboratoires pharmaceutiques impliqués dans ce trafic criminel.
La publication de cette information ferait sûrement sortir de leurs trous les « taupes » du trafic d’antirétroviraux, planquées dans les administrations et les maisons d’édition du monde entier, pour contrer cette éclairage de leurs magouilles et mensonges. Et ce faisant, ils accéléreraient la prise de conscience grandissante de cette fraude massive - condition nécessaire pour y mettre fin – plutôt que de rester cachés comme prévu.
La première réaction est venue du cœur du trafic des drogues antirétroviraux, l’Afrique du Sud. Le "Cape Times", journal contrôlé par un consortium de presse international, a lancé une attaque féroce contre l’ex-président Thabo Mbeki. Le journal accusait le président Mbeki, qui critiquait ouvertement le trafic d’antirétroviraux, d’être personnellement responsable de la mort des Sud-Africains, qui n’avaient pas pris les drogues toxiques antirétroviraux. En contradiction flagrante avec les données scientifiques, l’homme qui a sauvé des milliers de vies en Afrique du Sud en mettant en garde contre l’utilisation de ces poisons mortels, se retrouvait de fait accusé de meurtre.
L’attaque du "Cape Times" se basait sur un article publié par des employés de l’Université de Harvard aux USA. En utilisant le nom de cette prestigieuse institution académique, le journal a tenté apparemment de dénier les faits scientifiques. En y regardant de plus près, le mystère de cette publication dans les "Cap Times" s’éclaircit. David Rockefeller, président du plus gros groupe d’investissement au monde qui contrôle, en autres, plusieurs laboratoires pharmaceutiques, avait, quelques mois auparavant, fait un don record de 100 millions de dollars à l’Université de Harvard... (pour plus plus de détails, vous pouvez cliquer ici).
En d’autres mots, le cartel de la drogue utilise la couverture des institutions académiques, perçues comme indépendantes et réputées, pour manipuler l’opinion publique en faveur du gros business de la drogue. Mais, il y a une autre question brûlante : quelle est la motivation de ceux qui développent ces produits chimiques toxiques connus pour leurs effets dangereux et mortels sur des millions de personnes, surtout dans le tiers-monde ? La réponse ahurissante se trouve dans un document officiel du gouvernement américain appelé « National Security Study Memorandum 200 (NSSM 200). Ce texte est l’œuvre de Henry Kissinger, à l’époque où il était à la fois ministre d’État (secretary of State) et conseiller du Président pour la Sécurité Nationale (National Security advisor). Ce document spécifie la politique de contrôle des populations du tiers-monde comme le sujet de priorité primordiale pour le maintien de la sécurité nationale des États-Unis et des investissements, qui contrôle le gouvernement depuis près d'un siècle.
La promotion à l’échelle mondiale des d’antirétroviraux (ARV), toxiques pour des millions de gens, n’est rien d’autre que l’exécution cynique de ce plan, dissimulée sous le masque d’actions humanitaires. Il y a 70 ans, lorsque le cartel pétro-pharmaceutique lança ses efforts de conquête mondiale, il fallut attendre la fin de la catastrophe de la 2e guerre mondiale avant que les multinationales coupables soient jugées. Pas cette fois !
Les proportions de génocide qu’a pris le trafic des antirétroviraux (ARV) avec l’épidémie de Sida, que tout le monde peut comprendre facilement, nous forcent à analyser de plus près la nature de l’industrie pharmaceutique et de sa relation à la maladie. Plus important, ce modèle industriel basé sur la fraude doit être stoppé le plus tôt possible : il y va de la vie de plus de 6 milliards de personnes aujourd’hui et de toutes les générations futures.
Le site web du "Relais de la Vie" décrit comment, le 13 novembre 2007, plus de 30 survivants du camp de la mort de Auschwitz et d’autres camps de concentration nazis se sont réunis en Pologne à Auschwitz. Unis par leur credo moral, ce groupe de gens extraordinaires a décidé de peser sur le futur de l’Europe. Lors d’une cérémonie solennelle, les survivants de cet « enfer sur terre » ont partagé leurs expériences du passé et proposé une constitution pour une « Europe pour le peuple et par le peuple ». En reconnaissance de son travail de dénonciation des fraudes et mensonges de l’industrie pharmaceutique, envers la maladie et de mise à nu des principaux moteurs de cette industrie, pendant la guerre mondiale et maintenant, à savoir, le profit aux dépens de la vie, la Fondation pour la Santé du Dr Rath a reçu le "Relais de la Vie" des survivants d’Auschwitz, avec le souhait symbolique de porter le souvenir d’Auschwitz pour les générations futures.
Ce document unique est axé sur la protection de la vie et de la santé des gens, menacés aujourd’hui par les intérêts des multinationales qui tirent des milliards de profits de la commercialisation du corps humain. Le point commun entre l’industrie pharmaceutique et l’industrie des OGM (Organismes Génétiquement Modifiés) sont les brevets qui monopolisent le marché et les intérêts d’énormes groupes financiers aux dépens de la santé et de la vie de millions d’êtres humains. « Ceci n’est pas une campagne politique mais une question de moralité », dit August Kowalczyk, le fondateur de la Fondation pour l’Hospice d’Auschwitz (Fundacja Hospicjum Oswiecim), principal organisateur de la conférence.
On a beaucoup parlé à la conférence du fait que le camp de la mort d’Auschwitz était la source d’esclaves, pour l’entreprise IG Auschwitz, filiale à 100 % du cartel de la chimie IG Farben, constitué de Bayer, BASF, Hoechst et de quelques autres entreprises chimiques, qui continue de mettre en danger la vie de millions de gens, mais d’une façon moins évidente. La conférence fut aussi organisée par la Fondation pour la Santé du docteur Rath, une organisation caritative qui a aidé à démontrer les fraudes de l’industrie pharmaceutique et à exposer au grand jour l'objectif central de faire du profit aux dépens de la vie, pendant la 2e guerre mondiale et encore aujourd'hui.
Après 60 ans de silence, le site "Profit aux dépens de la Vie" ouvre au public les archives du procès de Nuremberg contre IG Farben, la plus importante multinationale de chimie et pharmacie de la première moitié du 20e siècle. Publiés en juillet 2007 par la Fondation Rath pour la Santé, les dizaines de milliers de documents montrent, sans aucun doute possible, que la 2e guerre mondiale, qui a coûté la vie à plus de 60 millions de personnes, a été planifiée et financée par le cartel IG Farben, qui à l’époque comprenait Bayer, BASF, Hoechst et d’autres sociétés. Étudiants, enseignants, chercheurs, hommes politiques, et tous les gens du monde entier sont invités à utiliser ces archives, afin de mieux comprendre cette période de l’histoire. C’est important surtout parce que les multinationales continuent aujourd’hui à utiliser la force militaire pour atteindre leurs objectifs globaux.
Pour aller plus loin sur l'Union Européenne :
- "L'Impasse de l'Union Européenne ?"
- "La Dictature Mondiale des chimistes"
Pour aller plus loin sur le pétrole :
- "L'Empire"
Pour aller plus loin sur l'industrie pharmaceutique :
- "Comprendre la seconde guerre mondiale"
- "La Mafia Médicale"
- "Historique du Cartel pharmaceutique"
- "L'État Pharma"
Pour aller plus loin sur le Sida :
- "Sexe, Mensonge et Sida"
Pour aller plus loin sur les OGM :
- "OGM un projet eugéniste"
- "Après moi le déluge"
Pour aller plus loin sur l'OMC :
- "OMC, les cartels aux commandes"
- "Nous les esclaves de l'OMC"
Pour aller plus loin sur l'OMS :
- "Dieu s'appelle l'OMS"
- "L'OMS et le nucléaire"
- "L'OMS et la pollution élctromagnétique"
- "L'OMS et le tabagisme passif"
Pour aller plus loin sur le Codex Alimentarius :
- "L'Ordre moisi du Codex Alimentarius"
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